Alexia Petrak

 Je m’appelle Alexia et je suis Née en 1971 à Dreux en Eure et Loir. Très tôt, la lecture, l’écriture et les voyages sont devenus mes passions. Jules Vernes était un de mes auteurs préférés. J’ai commencé à écrire, alors que j’étais à l’école primaire. Parfois, je demandais à ma maîtresse d’école de rester en classe pendant la récréation afin d’écrire. De nature timide, réservée, rêveuse et manquant cruellement confiance en moi, l’écriture était une échappatoire. Peu bavarde, elle me permettait de m’exprimer, de m’évader. J’ai commencé à écrire dans le fantastique. Plus tard, lors de ma rentrée en sixième au collège, j’ai connu des difficultés d’adaptation due aux moqueries des élèves. A cet âge, on n’aime pas la différence. J’avais un problème au niveau des paupières, elles étaient basses par manque de muscles, ce qui donnait l’effet que je dormais. J’ai souffert des railleries. A cette époque, l’écriture est devenue un refuge, un moyen d’avancer dans la vie. Je voulais devenir écrivain, c’était ma façon de me venger. Ma différence m’a rendu plus forte mentalement. Après une opération des paupières, j’ai poursuivi mes études dans un lycée professionnel et passé un cap, puis un BEP secrétariat dont j’ai obtenu les diplômes. Et puis le temps a passé, et on oublie nos rêves d’enfant à l’âge adulte. Une autre activité me permettra de m’épanouir, c’est le théâtre que je vais découvrir lors d’un stage, alors que j’étais sans emploi. Finalement, le théâtre a pris une place importante vers l’âge de 25 ans. Persévérante, j’ai pris des cours sur Paris. Je vais adorer donner vie à des personnages comme pour l’écriture. Savoir que l’on donne du plaisir aux spectateurs est réjouissant. Grâce au théâtre, j’ai rencontré mon conjoint par le biais d’une troupe amateur « Les porteurs de Lune ». Quelques années plus tard, alors qu’il m’écrit une pièce pour deux avec une palette de six personnages chacun, il se voit proposer de reprendre une troupe « Les porteurs de Lune » dans laquelle, j’ai débuté le jeu. Il va accepter et écrire plusieurs comédies. C’est à ce moment là que je m’aperçois que j’ai laissé de côté mon premier amour : l’écriture. Mon projet démarre suite à une série de rêves de cataclysme assez réalistes. Attirée par les films de catastrophe et de science fiction, j’ai décidé, de me lancer sur ce sujet. J’ai déjà la trame dans ma tête. Travaillant à côté, et pratiquant intensément toujours le théâtre, j’ai mis 5 ans à écrire mon roman. Arrivée à mi-parcours, j’ai accéléré le rythme voulant aller au bout de mon rêve. Je me suis accrochée et à mon grand bonheur, mon projet a aboutit. Commence le parcours du combattant, se faire publier. C’est finalement à 43 ans, que j’ai eu le plaisir de voir éditer mon livre « 2042, LE DERNIER JOUR » chez 7 écrit édition.

Je m’appelle Alexia et je suis née en 1971 à Dreux en Eure et Loir. Très tôt, la lecture, l’écriture et les voyages sont devenus mes passions. Jules Vernes était un de mes auteurs préférés. J’ai commencé à écrire alors que j’étais à l’école primaire. Parfois, je demandais à ma maîtresse d’école de rester en classe pendant la récréation afin d’écrire. De nature timide, réservée, rêveuse et manquant cruellement de confiance en moi, l’écriture était une échappatoire. Peu bavarde, elle me permettait de m’exprimer, de m’évader. J’ai commencé à écrire dans le fantastique. Plus tard, lors de ma rentrée en sixième au collège, j’ai connu des difficultés d’adaptation due aux moqueries des élèves. A cet âge, on n’aime pas la différence.  J’avais un problème au niveau des paupières, elles étaient basses par manque de muscles, ce qui donnait l’effet que je dormais. J’ai souffert des railleries. A cette époque, l’écriture est devenue un refuge, un moyen d’avancer dans la vie. Je voulais devenir écrivain, c’était ma façon de me venger. Ma différence m’a rendu plus forte mentalement. Après une opération des paupières, j’ai poursuivi mes études dans un lycée professionnel et passé un cap, puis un BEP secrétariat dont j’ai obtenu les diplômes.

Et puis le temps a passé, et on oublie nos rêves d’enfant à l’âge adulte. Une autre activité me permettra de m’épanouir, c’est le théâtre que je vais découvrir lors d’un stage, alors que j’étais sans emploi. Finalement, le théâtre a pris une place importante vers l’âge de 25 ans. Persévérante, j’ai pris des cours sur Paris. Je vais adorer donner vie à des personnages comme pour l’écriture. Savoir que l’on donne du plaisir aux spectateurs est réjouissant. Grâce au théâtre, j’ai rencontré mon conjoint par le biais d’une troupe amateur « Les porteurs de Lune ». Quelques années plus tard, alors qu’il m’écrit une pièce pour deux avec une palette de six personnages chacun, il se voit proposer de reprendre une troupe « Les porteurs de Lune » dans laquelle j’ai débuté le jeu. Il va accepter et écrire plusieurs comédies.

C’est à ce moment là que je m’aperçois que j’ai laissé de côté mon premier amour : l’écriture. Mon projet démarre suite à une série de rêves de cataclysme assez réalistes. Attirée par les films de catastrophe et de science fiction, j’ai décidé, de me lancer sur ce sujet. J’ai déjà la trame dans ma tête. Travaillant à côté, et pratiquant intensément toujours le théâtre, j’ai mis 5 ans à écrire mon roman. Arrivée à mi-parcours, j’ai accéléré le rythme voulant aller au bout de mon rêve. Je me suis accrochée et à mon grand bonheur, mon projet a aboutit. Commence le parcours du combattant, se faire publier. C’est finalement à 43 ans, que j’ai eu le plaisir de voir éditer mon livre « 2042, LE DERNIER JOUR » chez 7 écrit édition.